Une interview exclusive d’un amateur de culottes sales, fétichisme ultra tabou en France, mais bien plus accepté en Asie. Il nous explique pourquoi et comment il aime les culottes sales …
1. Pourriez-vous expliquer ou mettre des mots sur le pourquoi de votre attrait pour les culottes sales ?
Tout d’abord, je tiens à préciser que j’ai un attrait pour les culottes salies volontairement, ou celle salies involontairement par une jeune femme (nous y reviendrons) à l’hygiène dit « irréprochable ». Ce n’est pas le coté sale en tant que tel qui à mon sens est excitant, mais bien le contraste, les contrastes (nous y reviendrons), les plus intimes imprégnés sur le tissus. Ce qui me plait, m’excite c’est pouvoir avoir accès à cette culotte qui à frotté de manière plus ou moins intenses (extérieur ou intérieur) sur les deux intimités, vulve et fesses (anus)… J’aime la notion de durée, le fait qu’elle peu être porté longtemps, une journée, voir plusieurs journée et nuits si cela est volontaire.
2. Le style (mode et matière) de la culotte a-t’il une importance dans la stimulation de votre fétichisme ?
Oui, le style et la matière pour moi sont très importants. J’aime déjà en premier lieu le coton qui rappel le coté sage et, qui plus est, enregistre le mieux les parfums et odeurs intimes. En ce qui concerne le style, le string est intéressant. C’est la lingerie qui frotte le mieux la vulve devant mais encore plus derrière, frotte l’anus, au moindre mouvement. J’aime ce frottement naturel de longues heures au niveau cul… Puis, ce frottement fait que la probabilité que le tissus soit taché par quelques traces brunes, est accru. En effet, un besoin pressant, dans un moment très « speed » peut faire que sans le vouloir, la jeune femme s’essuie trop vite et donc pas suffisamment et là… le string prend tout son sens, en marqueur intime.
L’autre lingerie qui me plait le plus est la culotte blanche en coton toujours genre « Petit Bateau ». Ce genre de culotte incarne le coté innocence par essence, la couleur, la matière…. le coté jeune fille sage qui ne donne qu’une envie, être pervertie, et lui faire faire des choses sales, à rougir de honte…. (mais qui l’excitent paradoxalement, la font mouiller). Typiquement, lui faire entrer la culotte blanche dans la chatte (oui soyons plus crus dans les mots à ce stade (pas encore celui de Freud 😉 c’est juste celui d’après) qu’elle l’enfonce au plus loin dans sa chatte dès le matin mais aussi au plus loin dans son jeune trou du cul idéalement et volontairement encore plein. C’est là ou le fameux stade de Sigmund prend toute sa place !
3. Faites-vous une distinction de plaisir entre une trace d’urine, de selles, de règles ou de sécrétion vaginale ?
Oui, clairement ! C’est évidement subjectif mais en ce qui me concerne, je suis excité que par les culotte avec traces d’urine, de mouille et traces brunes…. Les règles ou sécrétions vaginales auraient plutôt tendance à me faire l’effet inverse. Mais à nouveau, c’est purement subjectif !
4. Quelle part d’importance donneriez-vous à l’histoire de la propriétaire de la culotte face aux odeurs/traces ?
Nous touchons là au point le plus important. Certain Japonnais je crois (il y a des distributeurs automatiques de culotte sales dans ce pays, mais c’est peut être une légende…) ou plein de personnes sont fétichiste de la culotte sale en tant que telle. Ce n’est pas mon cas ! Je n’aime une culotte sale que si je « connais » ou « sais bien des choses » sur la personne, son histoire, sa vie et ses habitudes, qui elle est… Il est important que cette femme soit jeune (de 18 (on se pose pas la question) à 28 ou 29 ans).
Que cette jeune femme soit « belle » c’est un point clé pour moi, face innocente, visage sage…. (on en revient au contraste) et que son cerveau/esprit soit en parfait état de marche ! Qu’elle soit lucide et excitée par ce qu’elle fait, salir ses petites culottes…. Qu’elle aime en avoir honte comme je le disais précisément et que cette honte la fasse encore plus mouiller (la honte n’est pas essentiel, c’est une option). J’aime l’idée qu’elle devienne « addict » à salir ses culottes et qu’elle aime les renifler, devant et derrière… Qu’elle se caresse en le faisant… J’aime l’idée aussi qu’elle puisse sortir sa langue rose pour la lécher et y prendre un plaisir pervers. Mais dans notre cas… enfin, si il s’agit de recevoir une culotte de cette jeune femme, elle aura pu la renifler mais pas la lécher, afin que les odeurs soient intacts. Pour résumer, une jeune étudiante, dîte de « bonne famille », intelligente et à qui on donnerait le bon dieu sans confession est réellement ce qui m’excite le plus comme profil, si je puis dire.
J’ouvre une parenthèse pour reparler des traces et du profil, je n’ai pas évoqué la sueur… j’aime cette dimension dans la culotte sale, ce mélange sueur, mouille, urine, cul…. on pourrait imaginer cette jeune femme (décrite ci dessus), portant longuement sa culotte ou son string, et étant très sportive… Et imaginer qu’elle fasse plusieurs joggings avec la culotte ou le string enfoncés dans la chatte et le cul… Q’elle ait, lors de sa course, des idées lubriques… afin que tout les fluides fusionnent !
5. Aimez-vous d’autres vêtements que les culottes qui stimulent votre fétichisme ?
Pour ma part, non.
6. Diriez-vous que le fétichisme des culottes sales a un lien avec la scatophilie ou l’urophilie ?
Intéressante question… Je dirai que oui, il y a de toute façon un rapport plus ou moins fort avec la scatophilie et l’urophilie car il s’agit bien d’empreintes de ces deux choses… et d’ailleurs, le jeu de culotte sale, avec le profil de jeune femme précédemment défini, peut ouvrir à des jeux beaucoup portés sur la « scato » et « l’uro »…. Ceci dit en conclusion, ce sont tant les traces et les odeurs qui font vibrer mon fétichisme. Et j’ajoute que bien entendu, les sujets de culottes sales, tout ce qui touche à l’urine ou au selles dans nos sociétés est encore tellement tabous que cela ajoute à mon excitation Je trouve que ce fétichisme et ce qui va avec permet d’ouvrir à des jeux hors codes, hors conventions et permet également à l’humain de renouer avec sa part d’animalité qui est en lui, tant pour la jeune femme que pour celui qui reçoit la culotte…. Je pense donc que comme les autres fétichismes ou jeux BDSM, plus ils sont acceptés, intégrés – comme faisant parti de soi et de l’humanité au sens large (tout le monde à sa part de secret et de sombre) – plus ils deviennent lumineux et donc facteur d’épanouissement !