Il existe mille façons pour une Maîtresse de prendre son soumis ou son esclave, de l’enculer, de le sodomiser.
Il peut s’agir d’une punition ou au contraire d’un moment de plaisir partagé, d’une sorte de récompense pour le soumis, parfois aussi, mais, dans un cas comme dans l’autre, c’est surtout le moment privilégié durant lequel la Maîtresse va symboliquement affirmer son pouvoir sur le soumis : elle devient le mâle, lui devient une femelle.
Les milles et un visages de la sodomie
Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie en portant un plug anal dont la taille augmente généralement avec le temps. La durée de port change, elle aussi, en fonction des ordre de la Maîtresse : De quelques dizaines de minutes par jour au départ, jusqu’à plusieurs jours d’affilés avec le temps.
A ce stade, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui.
Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectif de faire avaler à leur soumis des godes ou des strap-on de plus en plus gros et utilisent les plugs (parfois gonflables) pour élargir leur cul et le préparer, à terme, au fist ou au double-fist.
On entre alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques extrêmes font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes.
Une fois, l’orifice préparé, la Maîtresse dispose de dizaines de façon de prendre son soumis. A l’aide d’un gode ou d’un strap-on (gode-ceinture en français), en levrette ou face à face, par elle-même ou en ordonnant au soumis de s’enculer sous ses yeux. Elle peut le prendre habillée ou nue, lui ordonner de baisser simplement son pantalon et le prendre directement sur la table du salon ou, au contraire, entourer la sodomie de rituels préétablis.
Elle peut enfin, tout à loisir, ordonner au soumis de couiner quand elle l’encule ou au contraire lui intimer de se taire ou même le bâillonner. C’est l’imagination et la symbolique que la Maîtresse veut donner à cette pratique qui sont les chefs-d’orchestre de la « cérémonie », chaque Dominatrice et chaque soumis a donc sa propre expérience de ce rituel incontournable des rapports D/s.
Les milliers de vidéos disponibles sur Internet montrent à ceux qui auraient envie de pratiquer la sodomie, toute l’étendue des possibilités, il n’est donc pas nécessaire, et surtout impossible;-) d’en dresser ici le catalogue exhaustif.
Une symbolique essentielle
Certaines Maîtresses – rares – refusent de sodomiser leurs soumis, elles n’y prennent pas de plaisir, mais dans l’immense majorité des rapports D/s la sodomie provoque un plaisir partagé par la Maîtresse et par le soumis. Il existe bien d’autre pratiques SM dans lequel le plaisir est tout aussi partagé mais aucune d’entre elles – si l’on excepte les punitions – ne porte en elle une telle charge symbolique.
Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomisé soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ».
C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le strap-on (gode-ceinture) sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement.
Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait.
Le sort particulier de l’esclave concernant la sodomie
Dans leur immense majorité, soumis comme esclaves connaissent donc les joies de la sodomie, toutefois le sort réservé aux esclaves gynarchiques diffère parfois profondément de celui – plus enviable – que les Maîtresses réservent aux « simples » soumis. Comme dans toutes relation D/s, la sexualité de l’homme est réorientée vers la satisfaction du plaisir féminin, mais dans la relation gynarchique cette réorientation est souvent beaucoup plus radicale que dans une relation SM ou D/s moins élaborée.
Le sexe d’un véritable esclave est presque systématiquement placé en cage de chasteté et la Maîtresse va progressivement l’amener à ne plus ressentir aucun autre plaisir que celui de la satisfaire, Elle. L’esclave peut même être équipé d’une cage de chasteté annale qui l’empêche de se sodomiser lui-même et de se procurer ainsi un plaisir qui lui est interdit.
Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices gynarchistes peut avoir plusieurs finalités.
Réalisée le plus souvent sous cage de chasteté, juste après la traite ou un orgasme ruinée, elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul et très souvent il n’est même pas autorisé à couiner.
Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes ou de devoir lui-même enculer un autre soumis, l’amenant progressivement à une bisexualité forcée, sinon consentie.
« Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un homme, l’amenant progressivement à une bisexualité forcée. »
Je ne sais pas si elle aura aucun mal à le faire accepter, mais attaché sur un banc de sodomie, il ne pourra pas s’y soustraire et la Maîtresse le traitera d’enculé, de pd, de lopette en faisant de lui un esclave sexuel forcé à la bisexsualité
Bonjour Steve,
Je vous remercie pour ce partage généreux avec nous. En effet la sodomie est un plaisir auquel peu de soumis ont accès et c’est bien là un cadeau offert par la Maîtresse lorsqu’il a bien agit.
Pour ce qui est de la sodomie du soumis, être sodomisé par sa Maîtresse c’est quelque chose de merveilleux car la Maîtresse fait ainsi l’amour à son soumis. Je ne vois là que quelque chose de beau et d’extraordinaire. Un bel acte d’amour. Certes, cela est loin des standards de l’éducation qu’on nous apporte depuis toujours mais cela reste un acte d’amour. Un homme lambda ne comprendra jamais cela. C’est une récompense qu’offre la Maîtresse à son soumis. La Maîtresse offre ainsi à son soumis la chance de pouvoir jouir et le soumis offre son petit trou d’amour à sa Maîtresse. À mes yeux, c’est le seul plaisir sexuel que peut avoir un soumis. Tout comme, un soumis sera apprécié un tendre baisé pendant l’acte. Un soumis est toujours honoré d’avoir en lui un plug pour aller faire les courses, aller balader, avoir un plug queue de cheval lors des taches ménagères ou encore, s’empaler sur un god ventouse au moment de s’asseoir. Je dois bien avouer que c’est une sensation agréable de se sentir ainsi garni et cela peut préparer à un bel acte entre 2 personnes amoureuses. De plus, en portant une cage de chasteté, cela développe d’autres plaisirs intime.
Bonjour vous dites : “Bonjour Switcher,
En effet la sodomie peut être punitive, tous les soumis n’acceptent pas avec plaisir d’être sodomisés, dans ce cas cela devient une punition. Je suis totalement d’accord avec vous !
Je vous remercie pour votre partage pertinent ! 🙂
Maîtresse Dolores”
Pour ma part, je pense que la sodomie doit être une punition, elle doit être douloureuse, le soumis doit souffrir de se faire enculer par des gros godes, il doit supplier la maîtresse d’arrêter, mais comme c’est une vraie domina, elle va continuer à lui défoncer le cul le laissant épuisé et demandant grâce.
Bonjour Switcher,
En effet la sodomie peut être punitive, tous les soumis n’acceptent pas avec plaisir d’être sodomisés, dans ce cas cela devient une punition. Je suis totalement d’accord avec vous !
Je vous remercie pour votre partage pertinent ! 🙂
Maîtresse Dolores
Bonjour, vous dites entre autre :
“Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui.
Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectifs d’ entrer alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes.
Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomiser soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ».
Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices peut avoir plusieurs finalités. elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul.
Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse
n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.”
Sans aller jusqu’au fist, je pense quand même que la sodomie doit être punitive. Le soumis doit souffrir être humilié, il doit offrir son cul, se faire défoncer par sa Maîtresse ou par un homme si elle souhaite en le traitant de salope d’enculé, de lopette. Et cela plusieurs fois par semaine pour en faire un esclave sexuel.
Merci de votre contribution à cet article ! En effet, je ne pouvais pas mieux dire ! 🙂
Bonjour Maîtresse,
Vous dites :
“Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomiser soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ».
C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le strap-on (gode-ceinture) sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement.
Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait.
Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes, l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.”
Je pense qu’effectivement la finalité de la soumission est de faire accepter la sodomie par un homme en faisant du soumis une véritable femelle.
Bonjour Pascal, tout dépend votre pratique anale. Si vous pratiquiez le fisting extrême régulièrement sans un retour à la normale entre chaque séance, en effet le risque est plus grand pour votre sphincter. En revanche si vous vous limitez à une pratique anale classique, il y a peu de chances que vous finissiez avec des couches. Il faut simpelment être raisonnable pour ne pas se créer des problèmes ensuite 🙂
Bonjour .
Dois-je en déduire que lors d’une envie pressante il n’y a plus de retenue anal, le sphincter est complétement détruis. Ils finissent en majorité avec des couches…?